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Notes d'auteur :
Thématique fantastique pour ce troisième drabble! Plus que deux!
L’horloge est là, fidèle à son souvenir, avec son bois trop sombre, ses moulures fantasmagoriques et ses chiffres, comme autant de petits yeux qui la surveillaient, petite.

Caroline promène son regard sur le reste du salon, où peu de choses ont changé en dix ans. Les mêmes meubles, la plante défraichie, près de la fenêtre et le rideau usé par le temps. Elle s’attend presque à entendre la voix de Grand-mère plaintive, désagréable.

Les souvenirs sont trop vivants pour Caroline et quand elle pose de nouveau son regard sur l’horloge, elle frémit.

C’est ridicule, mais la vielle horloge l’intimide.
Toujours.
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