Les trois garçons déguerpirent alors que l’ivrogne titubait hors du pub, manquant de trébucher pour les attraper. Le rire des enfants se mêla aux cris rauques des mouettes qui survolaient cette partie ci de la ville, proche des quais et du port. Son surnom lui venait de sa main droite qu’il gardait toujours dans la poche de son veston usé, été comme hiver fit encore quelque pas dehors et proféra :
« J’vous attraperez un jour, petits saligauds ! »
Puis il retourna dans son antre, déjà fortement alcoolisé en cette fin de matinée. Ils pouffèrent de rire alors qu’ils continuaient de courir, slalomant entre les étals des divers vendeurs. La foule amassée à cette heure de pointe, alors que le soleil se rapprochait du zénith dans le ciel les forcèrent à ralentir. Jean, le plus jeune des trois, regardait nerveusement par-dessus son épaule. Le Manchot l’effrayait davantage depuis que des garçons plus âgés lui avaient raconté que le dipsomane avait perdu sa main en se battant contre un monstrueux animal marin, et que, depuis, un crochet le remplaçait. Un crochet adroit pour attraper les petits garçons moqueurs et aventureux de la brasserie « L’hydre à trois têtes » dont l’enseigne rouillée semblait flotter comme par magie les matins brumeux. D’autres rumeurs, plus réalistes, moins farfelues justifiaient la pudeur du Manchot à montrer sa main estropiée, depuis qu’un chien l’avait mordu. Le Manchot aurait alors abandonné sa carrière de pécheur et aurait écumé les bistrots des quais. Peu de monde connaissait le vrai nom du Manchot, objet de crainte et de raillerie chez les enfants. Les adultes l’évitaient en général, sauf ses compères ivrognes ou le personnel de l’Hydre.
Les deux autres remarquèrent le manège de Jean et se moquèrent de lui alors que devant eux, les hautes façades des maisons laissaient place à l’étendue bleue de l’eau du port. Ernest, l’ainé de Jean fit mine de vouloir l’attraper, la main courbée comme un crochet.
« Le Manchot va te découper Petit Jean ! Le Manchot est friand de petits garçons ! »
Le cri étranglé de Jean, à mi-chemin entre le rire et le cri, les fit de nouveau rire. Jean était facilement impressionnable. Ernest et Raphaël s’en amusaient beaucoup. Mais alors qu’Ernest continuait de taquiner Jean, Raphaël lui, regardait en direction du port. De sa place, il discernait tout juste un modeste bateau de pêche. Les deux mâts, les trois mâts, les caravelles et autres bâtiments marins de grande envergure étaient plus loin. Son père travaillait sur ces chantiers, et si tous les jours, Raphaël prenait plaisir à lui apporter sa miche de pain fraîche et quelques fruits du marché, c’était avant tout pour admirer les immenses navires en construction.
Des coups de carillon d’une église proche sonnèrent onze coups, ramenant Raphael à la réalité :
« Crénom les gars, je dois apporter son repas à mon père ! On se revoit demain devant l’Hydre ?
– Pas devant l’Hydre ! protesta Jean, Le Manchot va nous faire la peau ! On n’aurait pas dû essayer de lui piquer son chapeau.
– Petit Jean le pleutre ! Petit Jean le pleutre !
–Tu peux rire, t’as failli de faire dessus le jour où la mouette t’a foncé dessus, rappela Jean. »
Ernest se justifia :
« Il y avait un poisson pourri à côté de moi ! J’ai été surpris ! Et pourquoi on ne te voit pas tantôt, Raphael ? se justifia Ernest.
– Mon oncle veut que je l’aide à la cordonnerie ! J’suis obligé d’y aller.
– C’est dommage, le fils du maréchal ferrant m’a dit que les officiers arrivés en ville recherchaient des porteurs pour leurs messages. Pour donner rendez-vous galants à des belles dames, qu’il a dit ! On aurait pu récolter quelques piécettes du coup !
– T’as su ça quand ? s’étonna Ernest.
– Quand j’ai fait le guet pendant que t’essayer de piquer une grappe de raisin frais, avant que Raphaël ne nous rejoigne.
– Bon, on se retrouve où alors ? Petit Jean n’a pas tort, le Manchot, il aime pas les mioches. Il peut nous tomber dessus pour autre chose ! Rond comme une queue de pelle ou pas, il n’est pas commode… », rappela Raphael.
Le garçon craignait surtout que ses escapades n’arrivent aux oreilles de son oncle, qui connaissait nombre de commerçant de la grande rue. Il rapporterait ses chapardages à ses parents et ceux-ci le puniraient sans doute. Et puis, Petit Jean, bien qu’impressionnable, n’avait pas tort de craindre la colère du Manchot.
« La crèmerie ! proposa Ernest, la femme du crémier, elle nous a donnés une bouteille de lait, l’autre jour, quand on l’a aidée à ranger sa livraison !
– Tu parles, pouffa Petit Jean, c’est juste que la crémière, tu la trouve jolie comme une belle pomme rouge !
– Moi au moins, elle ne m’appelle « P’tit bonhomme », répliqua Ernest, les joues cramoisies. Mon prénom, elle le connait ! », se vanta t’il.
Les trois garçons débattirent ainsi encore quelques minutes, et se fixèrent rendez-vous non plus face à l’Hydre mais devant la crémerie, plus haut dans la rue. Jean et Ernest déplorèrent un peu l’absence de leur ami, l’après-midi, mais la perspective de récolter quelques pièces pour galoper dans toute la ville les consolèrent vite. Raphaël leur promit néanmoins de tout faire pour sa libérer l’après-midi suivant. Si la quête aux piécettes ne donnait rien, ils iraient alors sur les quais observer les caravelles et grands mâts où les matelots chargeaient et déchargeaient les cales.
Ernest et Jean retournèrent vers le centre de la ville alors que Raphaël partait en direction du port. Il longea les entrepôts, les étals où les épouses, sœurs et filles de poissonniers vantaient la fraicheur des produits marins. De l’intérieur des ginguettes et tavernes s’élevaient des rires, des chants aux forts accents et régulièrement des cris et encouragements de bagarre. Raphaël n’avait jamais pu réussir à y rentrer. Les marins aux fortes carrures et parfois à la peau basanée lui en barraient l’entrée. Raphael devait faire attention où il mettait les pieds. L’agitation y était aussi forte qu’en ville mais les hommes de la mer ne se souciaient guère de bousculer les jeunes garçons en vadrouille. Même, ils en étaient méfiants, y voyant souvent des chapardeurs ou des semeurs de troubles. Raphaël continua son escapade sans prêter réelle attention aux cris des poissonnières, aux pécheurs larguant ou amarrant leurs bateaux, s’interpellant de leurs grosses voix et même aux cris perçants des mouettes, cormorans se chamaillant des carcasses de poissons défraichis et déchets divers. Tout comme l’odeur de mer, de l’iode et des produits de la mer plus ou moins frais ne l’avait jamais pris à la gorge, contrairement aux étrangers de passage ou aux nouveaux arrivants. Raphaël connaissait ça depuis plus de dix ans, toute sa vie.
Mais les quais aux caravelles et grands mâts restaient une réelle fascination, bien plus que le spectacle familier du port de pêche. Du haut de ses douze ans, Raphaël se promettait d’y monter un jour et de voir sa ville comme le voyaient les voyageurs. La misère des hivers et des jours de disettes lui paraitraient sans doute plus supportables, embellies de la hauteur des pontons de navires. Puis il y aurait la mer, cette étendue d’eau à la robe toujours changeant. Interminable, sans point fixe, le spectacle de l’océan le captivait par tous les temps. Sa ville natale lui paraissait bien étroite, petite et surpeuplée quand il voyait l’étendue de l’Atlantique. Quant aux récits des voyageurs sur ce qu’il y avait au-delà, les peuplades inconnues, les forêts inexplorées ou les montages si hautes qu’elles se perdaient dans les nuages , ils valaient à ses yeux bien plus que les richesses que l’on disait ramenées de l’Afrique Noire, des Antilles ou des lointaines Indes. Raphaël ne comptait plus le nombre de fois où il était arrivé en retard chez lui pour s’être attardé à écouter tel pécheur ou marin raconter la prise d’un poisson spectaculaire ou la façon dont il avait guidé son bateau durant une tempête.
Un jour, Raphaël partirait. Il verrait ces montages, ces forêts, ces peuples si différents de lui. Il pourrait à son tour des histoires merveilleuses aux autres enfants. Il pourrait se vanter d’avoir vu les animaux qui ornaient les fresques et saurait enfin si les baleines étaient aussi immenses que le disait les histoires. Il pourrait prétendre avoir entendu leur chant qu’on disait harmonieux.
Avec agilité, il enjamba un caisson de crevettes fraichement péchées et frémit, un peu plus loin, en jetant un coup d’œil aux pinces de crabes, dans une autre caisse en bois. Raphaël se souvenait de la fois où Ernest l’avait mis au défi d’en attraper un vivant, à la main. Le vieux marin qu’ils s’étaient proposés d’aider ce jour-là avait bien rit de l’incident et en récompense, leur avait donné une gravure sur bois représentant un dauphin. Raphaël avait était charmé par la courbe élégante de l’animal . Celui-ci avait été accompagné du récit de la belle amitié entre un jeune garçon et un dauphin. Le pécheur lui avait raconté que le cétacé conduisait le garçon fréquemment de l’autre côté de la baie où ils vivaient et qu’à la mort accidentelle de celui-ci, l’animal marin s’était laissé mourir de chagrin. Son professeur lui avait confirmé l’existence de cette histoire et l’avait attribué à Pline l’Ancien. Depuis, Raphaël rêvait lui aussi d’avoir un dauphin comme ami, qui le ferait voyager d’un rivage à l’autre, et avec qui il pourrait se baigner et jouer dans l’eau.
Enfin, Raphael passa devant les dernières embarcations de pèches et rasa quelques entrepôts avant d’arriver à l’entrée du chantier navale.
« Bonjour, M’sieur Duval ! », salua Raphael en arrivant à la hauteur d’un des contre- maîtres.
L’homme lui avait toujours été antipathique, avec ses airs supérieurs et sa façon de parler à ses ouvriers, dont son père. Mais le garçon ne voulait pas que son père ait des ennuis à cause de lui, alors il prenait soin de toujours être poli avec lui.
« Qu’est que tu fais là, toi ! C’est interdit de trainer ici !
– J’apporte le repas de mon père, Monsieur Duval. Il travaille pour vous.
– Oui, ton père ! Je vois qui c’est maintenant. Dans ce cas, attend-le là. Et que je ne te vois pas trainer dans les entrepôts, tu n’as rien à y faire, somma l’homme.
– Je ne bougerais pas, Monsieur Duval. Et mon père me l’a déjà dit, que je ne devais pas trop me balader dans le coin. Juste que vos bateaux, ils sont tellement beaux qu’on voudrait y monter ! »
Son interlocuteur parut se radoucir un peu et ses lèvres frémirent légèrement. Bien que tout le mérite de la beauté et de la qualité de ses navires revenaient en réalité à ses ouvriers plutôt qu’à lui. Raphaël n’arrivait pas à s’imaginer Duval suant lors des canicules ou trempé sous la pluie. Avec ses mains toujours impeccables, son veston et ses belles chaussures, le contre maître passait, selon son père, plus de temps dans son bureau que sur le chantier à manier des ciseaux à bois.
« Eh bien, regarde-les de loin. Les accidents sont courants sur les chantiers !
– D’accord, Monsieur Duval. Je ne bouge pas d’ici ! »
Raphaël s’installa sur une caisse, près du rebord du quai pour faire face aux bateaux en constructions. Les mains encadrant son visage juvénile, il se laissa aller à rêvasser, à s’imaginer sur un de ses grands mâts, parcourant l’immensité de l’océan, domptant ou sympathisant avec ses occupant.
« On s’était donné rendez-vous au port, Raphael, pas si près du quai ! Si Monsieur Duval te trouve… »
La voix de son père le tira de ses réflexions. Raphaël répliqua :
« Le Sieur Duval m’a donné son accord. J’ai juste pas le droit d’aller plus loin !
– Il n’est pas toujours aussi clément tu sais ! Ce matin encore, il a renvoyé un ouvrier chez lui ! Un pauvre bougre qui s’est blessé à la main. Il aurait pu attendre deux jours qu’il soit remis sur pieds, mais non ! Il a préféré en reprendre un autre et laisser une famille sur la paille ! s’emporta son père.
– Dis P’pa, j’pourrais y travailler quand, au chantier ? Je suis assez grand pour arrêter l’école maintenant que je sais lire et écrire…
– On en a déjà discuté Raphaël, à la fin de l’été, tu rentres en apprentissage chez ton oncle ! Tu y seras logé et nourri et tu y apprendras un bon métier. Où tu seras au chaud et pas dehors par tout temps !
– Mais je ne veux pas être cordonnier ! Moi, c’est les bateaux que j’aime. Pas les chaussures !
– Sois réaliste mon fils. Qu’est qui est le plus utile ? Les bateaux ou les chaussures ?
– Les chaussures », abdiqua le garçon.
Etienne se radoucit et ébouriffa la chevelure blonde et éparse de son fils. Lui aussi, jeune, avait rêvé de voyages, d’au-delà riches en couleurs et en nouveaux horizons. Lui aussi avait écouté avec émerveillement les récits des voyageurs et même des modestes pécheurs qui se vantaient de pourfendre des monstres marins innommables ou de prises extraordinaires, jamais vues par d’autres qu’eux. La réalité l’avait rattrapé et l’avait contrainte à abandonner ses rêves lors de son mariage et de la naissance de son fils. Alors il pouvait l’autoriser à rêver, un peu, avant que le quotidien ne lui prenne ses rêves, avant que la morosité des petits métiers mal payés ne dévore toutes ses envies.
« Puis les bateaux, un jour où Monsieur Duval ne sera pas là, je pourrais te les montrer. Monsieur Martin est bien plus gentil. Si tu me promets d’être sage, je pourrais te montrer les outils et la caravelle sur laquelle je travaille… se radoucit son père.
– C’est vrai P’pa ?
– Seulement si tu fais ce que je te dis ! Tu vas toujours voir ton oncle, cette après-midi ? N’oublie pas : c’est une chance qu’il te préfère à un autre apprenti. Grâce à lui, tu auras un jour ta propre boutique, et une maison à ton nom. Et là, tu seras content d’offrir les meilleures choses aux tiens ! »
Raphael opina par habitude, inattentif au discours bien connu de son père. Tout en mordant avec appétit dans son bout de fromage, les mains tachées du jus de ses grappes de raisins, il espérait que son père tiendrait parole. L’été ne venait que de commencer. Pour les deux prochains mois, encore, il pourrait écumer les quais, le vieux port et les rues de la ville avec Ernest et Petit Jean. De temps à autre, ils se proposeraient à de menues services dans l’espoir d’une récompense comme la gravure du dauphin ou la bouteille de lait frais de la belle Marguerite, avec ses joues rouges, ses cheveux noirs aux jolies vaguelettes et son corsage à peine échancré qui faisait pourtant jaser les plus aigries de ses clientes.
Oui, l’Automne était loin. Raphaël avait encore tout l’été pour rêvasser et devoir accepter les obligations de son père.
Des après-midi de liberté, il en aurait d’autre.
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Notes :
Ceci est mon premier original en réponse à un concours de Yunus et Dedellia " En eaux troubles". Voici un rappel du dit concours.
Au début des temps, l'homme a été fasciné, terrifié même, par les mystères de la mer. S'éloignant, n'osant pas approcher de cette vaste étendue d'eau. À travers les siècles, l'homme repoussa sa peur et franchit les limites qu'il s'était imposées découvrant, par la même occasion, des mondes plus que surprenants.
De nos jours, les mers furent explorées de nombreuses fois, malgré cela, il reste de nombreux mystères à découvrir, la fascination de l'homme pour la mer n'est pas prête à s'éteindre.
Nous, Yunus et Dedellia, vous proposons donc de contribuer au mystère et à la fascination qu’a la mer envers les hommes en écrivant un texte sur le sujet. Aventuriers, poètes ou même simples citoyens se retrouveront sur ou sous l’eau pour la durée d’un court texte de votre invention. Mais attention ! Pour compliquer les choses il ne s’agira pas seulement d’un texte où l’on trouvera un ou plusieurs personnages sur ou dans l’eau, vous devrez choisir une contrainte générale dans la liste proposée ou encore vous précipiter en eaux troubles et choisir de prendre une contrainte surprise. Qui a-t-il dans les contraintes surprises ? Des défis d’écriture comprenant des actions surprenantes et inusitées à inclure dans l’histoire et bien des surprises. Pour avoir une idée de ce qui peut se retrouver dans les contraintes surprises : regardez les contraintes générales un peu plus bas et dites vous qu’elles seront bien plus surprenantes !
Règles générales
-Le texte doit contenir entre 500 et 10 000 mots ;
-Un rating Tout Public ou –12 est demandé ;
-Vous devez choisir une contrainte générale ou surprise, ni les deux, ni aucune ;
-Le concours prend fin le 30 novembre, ce qui vous donne deux mois pour écrire Date repoussée au 5 décembre ! ;
-Puisque l’inscription se fait par message privé à Yunus, les inscriptions se terminent le 23 novembre afin de nous laisser le temps de confirmer votre inscription et vous laisser assez de temps pour écrire ;
-Les votes auront lieu durant les deux ou trois semaines suivant la fin de la période d’écriture, assurez vous d’avoir publié votre texte ;
-Si vous avez choisi une contrainte surprise, ne révélez celle que vous avez obtenu qu’au moment de publier votre texte et à la fin de ce dernier pour ne pas gâcher la surprise ;
-Si vous choisissez de prendre une contrainte générale, dites la contrainte que vous désirez, placez un deuxième choix au cas où la liste n’aurait pas été mise à jour et qu’un autre l’aurait prise avant vous ;
-Dans le message privé que vous enverrai pour votre inscription, assurez-vous d'avoir indiquer votre ou vos choix de contraintes.
Je précise que j'ai choisit la contrainte surprise.
Au début des temps, l'homme a été fasciné, terrifié même, par les mystères de la mer. S'éloignant, n'osant pas approcher de cette vaste étendue d'eau. À travers les siècles, l'homme repoussa sa peur et franchit les limites qu'il s'était imposées découvrant, par la même occasion, des mondes plus que surprenants.
De nos jours, les mers furent explorées de nombreuses fois, malgré cela, il reste de nombreux mystères à découvrir, la fascination de l'homme pour la mer n'est pas prête à s'éteindre.
Nous, Yunus et Dedellia, vous proposons donc de contribuer au mystère et à la fascination qu’a la mer envers les hommes en écrivant un texte sur le sujet. Aventuriers, poètes ou même simples citoyens se retrouveront sur ou sous l’eau pour la durée d’un court texte de votre invention. Mais attention ! Pour compliquer les choses il ne s’agira pas seulement d’un texte où l’on trouvera un ou plusieurs personnages sur ou dans l’eau, vous devrez choisir une contrainte générale dans la liste proposée ou encore vous précipiter en eaux troubles et choisir de prendre une contrainte surprise. Qui a-t-il dans les contraintes surprises ? Des défis d’écriture comprenant des actions surprenantes et inusitées à inclure dans l’histoire et bien des surprises. Pour avoir une idée de ce qui peut se retrouver dans les contraintes surprises : regardez les contraintes générales un peu plus bas et dites vous qu’elles seront bien plus surprenantes !
Règles générales
-Le texte doit contenir entre 500 et 10 000 mots ;
-Un rating Tout Public ou –12 est demandé ;
-Vous devez choisir une contrainte générale ou surprise, ni les deux, ni aucune ;
-Le concours prend fin le 30 novembre, ce qui vous donne deux mois pour écrire Date repoussée au 5 décembre ! ;
-Puisque l’inscription se fait par message privé à Yunus, les inscriptions se terminent le 23 novembre afin de nous laisser le temps de confirmer votre inscription et vous laisser assez de temps pour écrire ;
-Les votes auront lieu durant les deux ou trois semaines suivant la fin de la période d’écriture, assurez vous d’avoir publié votre texte ;
-Si vous avez choisi une contrainte surprise, ne révélez celle que vous avez obtenu qu’au moment de publier votre texte et à la fin de ce dernier pour ne pas gâcher la surprise ;
-Si vous choisissez de prendre une contrainte générale, dites la contrainte que vous désirez, placez un deuxième choix au cas où la liste n’aurait pas été mise à jour et qu’un autre l’aurait prise avant vous ;
-Dans le message privé que vous enverrai pour votre inscription, assurez-vous d'avoir indiquer votre ou vos choix de contraintes.
Je précise que j'ai choisit la contrainte surprise.
Notes d'auteur :
Emporté par mon élan et mon inspiration, le nombre de mots est conséquent. Rassurez vous, je n'en suis pas non plus au 10 000 à ne pas dépasser mais vraiment, le thème m'a inspiré et donné du fil à retordre^^.
Note de fin de chapitre:
Un grand merci à lilimordefaim pour sa correction, ses encouragement et ses suggestions
Au vu du délais, je mettrais la suite et fin mercredi.
Au vu du délais, je mettrais la suite et fin mercredi.
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